Tome 2 : La Résistance : l'histoire de Peter (de Gemma Malley)
Résumé :
La mort n'existe plus. Les hommes vivent à l'ère de la Longévité. Mais pour éviter le surpeuplement, pas de naissances non plus. Peter et Anna ont un point commun : ils n'auraient jamais dû naître. Parce qu'une vie éternelle leur semble contre-nature, parce que le système de la Longévité a gâché leur enfance, parce qu'il menace leurs rêves, ils ont décidé d'enter en lutte. Pour sa suppression. Au sein du Réseau, la résistance s'organise. Peter a pour mission d'infiltrer le plus grand des laboratoires, le centre névralgique du système, Pincent Pharma... dirigé par son grand-père, Richard Pincent. Un homme puissant et influent, bien décidé à faire plier les rebelles. Une présence troublante pour Peter. Quans les liens du sng s'en mêlent, tout se complique...
Critique :
Un très bon livre jeunesse, bien écrit ! Une dystopie très pertinente, décor d'une histoire prenante, mettant en scène des personnages développés. A la fois distrayant et intéressant !
La grammaire est une chanson douce (de Erik Orsenna)
Résumé (par moi) :
Jeanne et Thomas échouent sur une île, sans repères et surtout sans parole ! Monsieur Henri va les aider à se réapproprier les mots, d'une façon bien particulière, qui changera pour toujours leur vision de la langue.
Critique :
En retombant dessus dans ma bibliothèque, j'ai eu envie de relire ce livre, qui m'avait marqué quand je l'avais lu en 6e. Il m'avait fait encore plus aimer le français ! Evidemment il a eu moins d'impact en le relisant maintenant, mais c'est un joli moment de poésie et de voyage.
Leçons d'un tueur (de Saul Black)
Résumé (par moi) :
Valerie enquête sur des meurtres de femmes aux quatre coins des Etats-Unis, reliés par de macabres objets laissés dans les corps. Devant elle-même vaincre les fantômes de son passé, elle doit agir vite car chaque minute passée est une chance en moins pour les victimes dans la ligne de mire du tueur.
Critique :
Une narration intéressante, de plusieurs points de vue : police, victime et tueur, qui maintient le suspense à son comble !
Le Réseau Corneille (de Ken Follett)
Résumé (par moi) :
Betty Clairet est à la tête d'un grand réseau de la Résistance. A l'approche du débarquement, fin 1944, elle dirige une opération de sabotage menée par un commando de femmes. Malheureusement, un agent allemand les suit à la trace, ayant obtenu des informations en torturant des Résistants faits prisonniers.
Critique :
Un roman très prenant, notamment de par la double narration agent allemand VS Résistance. Cela fait plaisir d'avoir des personnages féminins au centre de l'histoire, qui sont développés et inspirants. On sent qu'il y a eu une documentation en amont, sur les méthodes de codage, etc, ce qui rend la lecture instructive en plus d'être très captivante.
Sur la route (de Jack Kerouac)
Résumé :
"Un gars de l'Ouest, de la race solaire, tel était Dean. Ma tante avait beau me mettre en garde contre les histoires que j'aurais avec lui, j'allais entendre l'appel d'une vie neuve, voir un horizon neuf, me fier à tout ça en pleine jeunesse ; et si je devais avoir quelques ennuis, si même Dean devait ne plus vouloir de moi comme copain et me laisser tomber, comme il le ferait plus tard, crevant de faim sur un trottoir ou sur un lit d'hôpital, qu'est-ce que cela pouvait me foutre ? J'étais un jeune écrivain et je me sentais des ailes.Quelque part sur le chemin je savais qu'il y aurait des filles, des visions, tout, quoi ; quelque part sur le chemin on me tendrait la perle rare."
Critique :
Ce livre m'a assez déçue, je n'ai pas réussi à le finir. Le narrateur et personnage principal est assez peu attachant, immature. La vision des femmes des protaginstes est très limites, les seuls personnages féminins se rapprochent plus d'objets sans conscience propre. J'avais l'impression de suivre le cours des pensées d'un adolescent immature, plutôt que le récit d'un roadtrip inspirant au travers des Etats-Unis.
Shirley (de Charlotte Brontë)
Résumé :
La province du Yorkshire subit en 1812, la première dépression industrielle de l'Histoire. Dans la petite paroisse de Briarfield, plusieurs destins vont se croiser. La jeune Caroline Helstone, fille du pasteur, est éprise de son cousin Robert Moore, manufacturier dont les filatures tournent à vide, nullement intéressé par un mariage peu lucratif jusqu'à l'arrivée dans la ville voisine, Shirley Keeldar, une héritière vive et entreprenante, dont le caractère charmera plus d'un habitant du Yorkshire
Critique :
Le personnage principal est absent des 100 premières pages, celles-ci décrivant tous les autres personnages, et quelques scènes entre eux, mais j'avoue m'être perdue dans leurs noms et les relations entre eux. Il devient plus prenant ensuite, mais s'essouffle et se répète beaucoup, je n'ai pas réussi à aller au-delà de la moitié. Malgré cela, les personnages sont très développés et l'aspect féministe était très intéressant.
Le premier homme (d'Albert Camus)
Un Anglais sous les tropiques (de William Boyd)
Résumé (par moi) : Morgan Leafy, fonctionnaire de l'ambassade britannique au Kinjanja, est plongé entre l'hypocrisie de ses supérieurs et les coutumes qu'il a du mal à accepter de la population locale. Il se retrouve malgré lui intriqué dans des affaires de corruption politique, et d'un autre côté emmêlé dans ses déboires sentimentaux.
Critique : Malgré l'aspect satirique intéressant de l'Empire colonial britannique, le roman tourne principalement autour de la vie sexuelle du personnage principal, misogyne, immature, en tout point détestable, ce qui n'encourage pas spécialement la lecture.